II est relativement difficile d'énumérer les microorganismes ferro­ oxydants en utilisant les techniques bactériologiques conventionnelles. Nous avons mis au point une méthodologie basée sur une modification de la technique normale de la détermination du nombre le plus probable (NPP). Toutes les souches de Thiobacillus ferrooxidans employées lors des essais ont démontré des comportements physiologiques comparables.  Nous avons observé une excellente corrélation entre l'énumération visuelle microscopique et l'énumération obtenue en utilisant la méthode NPP modifiée. Nous proposons donc une méthode ou le seuil de détection est inferieur a 100 bactéries par ml.